Le film Les Mauvaises herbes qui a vu en maître d’œuvre s’opérer le talent de Kheiron en images a été un long-métrage très abouti et enrichissant sur le plan de l’humain.
Ancien éducateur et déjà auteur d’un premier film Nous trois ou rien, l’humoriste, Kheiron, dévoile son expérience en tant qu’éducateur mêlant sur grand écran humour et émotion, autant d’ingrédients nécessaires à la réussite d’un film mettant en relief des jeunes, des « mauvaises herbes », qui sont touchés par le décrochage scolaire et à qui il revient de venir en aide.
Il s’agit, en effet, de l’histoire de Waël, un ancien enfant des rues qui vit de petites arnaques jusqu’au jour où celui-ci se retrouve peu à peu en charge d’un groupe de six adolescents expulsés pour absentéisme, pour insolence ou encore port d’arme, et va finir par susciter l’épanouissement de ces jeunes.
Notre association a eu l’honneur, le privilège d’assister à l’avant-première de ce film et prendre part aux échanges de Kheiron avec le public. L’humoriste nous a rappelé tout l’intérêt de son film en citant une phrase de Victor Hugo « Il n’y a pas de Mauvaises Herbes comme il n’y a pas de mauvais hommes. Il n’y a que de mauvais cultivateurs ».
Dans ce cocktail de « mauvaises herbes », on sent toute la recette d’un film qui va faire tabac.